Méthodes de travail
Thérapie par exposition en réalité virtuelle (TERV)
L'exposition virtuelle est une méthode efficace pour vous aider à surmonter vos phobies. Grâce à des environnements virtuels immersifs, je vous aide à affronter vos peurs progressivement.
La Thérapie par exposition en réalité virtuelle et TCC
La TRV (thérapie par réalité virtuelle fait partie des psychothérapies cognitivo comportementales (TCC). Ces dernières s'appuient sur l'expérience et le présent en vue de comprendre et de modifier les troubles psychologiques. Le patient est amené à prendre conscience de ses croyances négatives grâce à l'aide du praticien. Parmi les TCC, la thérapie d'exposition consiste à se confronter à ses peurs de façon graduelle afin d'adopter un nouveau comportement.
Traditionnellement (sans le visiocasque), le patient doit recréer sa situation anxiogène, soit mentalement (par un effort d'imagination), soit dans la réalité (thérapie in vivo).
La Thérapie par réalité virtuelle (TRV) est une forme particulière de thérapie par exposition, elle est donc un des aspects de la TTC. Mais elle se fait sous une nouvelle forme : virtuellement, c'est-à-dire à travers un monde immersif en trois dimensions. C'est un nouvel outil d'exposition, plus efficace. Le patient n'a plus besoin de se faire croire (en imaginaire) qu'il affronte sa situation anxiogène, il croit qu'il l'affronte véritablement (grâce au virtuel), sans danger, dans un cadre structurant et sécure. L'exposition et le déconditionnement virtuels sont progressifs, associés à des expositions réelles contrôlées entre les séances, aidé par divers outils des TCC (restructuration cognitive, relaxation, .....)
Tout le monde (ou presque) peut suivre une thérapie par exposition à la réalité virtuelle ! Si vous avez plus de 5 ans, que vous n’êtes pas épileptique photosensible et que vous ne possédez pas de pacemaker, vous pouvez utiliser la réalité virtuelle.
LE CONCEPT DE REALITE VIRTUELLE THERAPEUTIQUE:
Vous êtes équipé d'un casque (visiocasque) permettant la vision en 3D d'une scène pouvant provoquer un trouble (regarder le vide, prendre un ascenseur, parler devant un public, prendre le métro, peur des insectes...). L'ensemble de votre champ de vision est plongé dans un monde virtuel qui n'a plus aucun lien avec le réel.
Vous devenez acteur d'un autre monde en trois dimensions, qui change naturellement en fonction des mouvements de la tête et du corps.
Le patient est rassuré par le fait qu'il ne risque rien pendant la séance, car il ne s'expose qu'à des dangers virtuels, le praticien est à vos côtés pour vous guider.
De plus, la thérapie s'effectue de façon progressive, chaque programme de Thérapie en Réalité Virtuelle (TVR) étant évolutif.
"L'immersion progressive permise par la réalité virtuelle est moins violente que si on expose le patient à une vraie araignée ou à une vision dans le vide".
Aujourd'hui, il existe la possibilité de combiner les objectifs de la psychologie positive avec les développements des TIC dans un nouveau paradigme : la technologie positive, dont le but principal est d'améliorer les caractéristiques des expériences personnelles dans le but d'améliorer le bien-être, en favorisant le développement des forces et de la résilience des sujets .
En ce qui concerne spécifiquement la réalité virtuelle, il a été observé que l'interaction avec cet outil dans différents environnements peut générer des réponses émotionnelles spécifiques. Ainsi, en cas d'environnement relaxant, la personne qui l'utilise remarque que l'anxiété est réduite et augmente le niveau de relaxation, ce qui, en même temps, entraîne une diminution du rythme cardiaque de la même personne.
En outre, lorsqu'ils utilisent des environnements naturels relaxants, les patients signalent une réduction de la fatigue, de la tension et de la dépression, de même, des améliorations significatives ont été observées au niveau de l'humeur, de la tristesse, de l'anxiété, du calme et du plaisir .
Objectif et déroulement d'une séance de TERV
L’objectif des Thérapies par Réalité Virtuelle (TRV) est de compléter les thérapies, en particuliers les Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC), par une immersion virtuelle du patient dans ses situations anxiogènes, au lieu de l’immersion en imaginaire. L’avantage des TRV est la qualité de l’exposition où le patient et sont cerveau se croient vraiment exposés à la situation. Les exercices thérapeutiques sont plus efficaces. Autres les « techniques d’exposition », l’avantage est également que le psychologue peut accompagner son patient dans les exercices et le rassurer, l’encourager, l’aider. L’objectif des Thérapies par Réalité Virtuelle (TRV) est d’immerger le patient dans des environnements virtuels afin qu’il puisse graduellement réapprendre à se confronter à ses phobies et retrouver autonomie et liberté. En s’habituant à la confrontation avec l’objet de ses peurs, le phobique se désensibilise. La Thérapie en Réalité Virtuelle est actuellement appliquée dans le traitement des phobies, de l’anxiété, de la dépression, des troubles post-traumatiques, de la schizophrénie, de l’addiction à l’alcool et à certaines drogues dures, du jeu pathologique, des troubles alimentaires et troubles de l’image corporelle ainsi qu’en neuropsychologie.
Déroulement d’une Séance:
Le patient phobique est équipé d’un casque (visiocasque) permettant la vision en 3D, d’une scène pouvant provoquer un trouble (regarder le vide, conduire en voiture, prendre un ascenseur, parler devant un public, prendre le métro…). L’ensemble de son champ de vision est plongé dans un monde virtuel qui n’a plus aucun lien avec le réel. Il devient acteur d’un autre monde en trois dimensions, qui change naturellement en fonction des mouvements de la tête et du corps. Le patient se sent rassuré par le fait qu’il ne risque rien durant la séance, puisqu’il ne s’expose qu’à des dangers virtuels, et le psychologue est à ses côtés. De plus, la thérapie s’effectue de façon progressive, chaque programme de Thérapie en Réalité Virtuelle (TRV) étant évolutif. « L’immersion progressive permise par la réalité virtuelle est moins violente que si on expose le patient à une vraie araignée ou à un vrai vol d’avion », explique le Pr Stéphane Bouchard. La Thérapie en Réalité virtuelle (TRV) n’est pas immédiate dans la mis une place du traitement, elle est progressive et s’effectue après quelques séances où le patient explique son trouble et les conséquences dans sa vie quotidienne, évalue son degré d’anxiété, effectue la hiérarchisation des situations et travaille ses pensées par de la restructuration cognitive.
Les séances en Réalité Virtuelle sont préparées en amont et encadrées lors de chaque séance par le psychologue.
Des séances de relaxation sont également disponibles en Thérapie Virtuelle en complément des situations phobique travaillées. Les techniques de relaxation et de respiration sont utiles pour apprendre à gérer sa réaction face à ses peurs.
Les séances en Thérapie par Réalité Virtuelle (TRV) sont progressives en fonction de l’évolution thérapeutique du patient. Par exemple, pour un phobique de l’avion, les possibilités d’expositions sont multiples. D’abord se familiariser avec un aéroport, puis entrer dans un avion, effectuer un décollage, faire face à des turbulences, se confronter à un atterrissage… Si la personne a besoin de rentrer et sortir de l’avion au décollage ou pendant le vol, c’est possible. De même, pour quelqu’un qui a la phobie du sang (bélénophobie), ou des araignées (arachnophobie), il sera immergé dans un environnement où il sera mis en contact, étape par étape, graduellement, avec sa peur.
Actuellement, la réalité virtuelle est visuelle et auditive, mais les études en cours travaillent sur des reproductions de situations dans lesquelles seraient intégrés des éléments tactiles et mêmes des odeurs.
Pour quels troubles
La Thérapie en Réalité Virtuelle (TRV) est préconisée dans le traitement des troubles anxieux tels que les phobies, le trouble anxieux généralisé, le stress post-traumatique ainsi que les troubles obsessionnels (TOC), mais également les troubles alimentaires, la dépression et les addictions.
La TRV pour le traitement des phobies :
- Claustrophobie (peur des espaces confinés, des lieux clos et de l’enfermement)
- Amaxophobie (phobie de conduire)
- Agoraphobie (peur des espaces ouverts et des endroits où on ne peut pas sortir facilement)
- Aviophobie/aérodromophobie (peur des avions, des voyages en avion)
- Ochlophobie (peur des endroits où il y a beaucoup de personnes, peur de la foule)
- Acrophobie (peur du vide et des hauteurs)
- Aquaphobie (peur de l’eau)
- Emétophobie (peur de vomir)
- Mysophobie (peur des saletés)
- Glossophobie (peur de parler en public ou devant un groupe)
- Bélénophobie (peur des épingles et des aiguilles)
- Peur des animaux et des insectes : ,
- Arachnophobie (peur des araignées et des arachnides)
- Cynophobie (peur des chiens)
- Ailurophobie (peur des chats)
- Ornitophobie (peur des oiseaux, peur des pigeons)
- Peur des rongeurs/rats Peur des abeilles
Cette liste est à titre d'exemple parmis toutes les phobies exictantes.
Avantages et Limites de la TRV
L’avantage principal de la Thérapie Virtuelle est de permettre un traitement progressif de la peur, dans un environnement sécurisant. Le danger n’est pas réel mais virtuel.
L’exposition peut être arrêtée à tout moment. Cette façon de traiter les phobies permet aussi d’éviter des coûts énormes tels que ceux qu’impliquerait un traitement contre la peur de voyager en avion, dû aux complications liées à la location d’un avion dans le cadre de traitements de phobies par exemple. En outre, l’environnement virtuel permet le contrôle de paramètres impossibles, tels que les turbulences par exemple, qui risqueraient de provoquer une crise de panique des patients.
Cela permet également la standardisation de la procédure, et par conséquent une meilleure évaluation de l’efficacité de l’exposition à la réalité virtuelle. Cela facilite la généralisation des contextes. Elle aide également à minimiser l’évitement. Et c’est un moyen thérapeutique attirant pour les patients, ludique surtout pour les jeunes patients. Elle offre un plus large panel de stimuli que l’in vivo.
Pour finir, dans l’intimité, le patient ne se sent pas jugé par d’autres personnes, il est uniquement aidé et soutenu par le thérapeute. Comme pour toute innovation, on manque encore de recul sur les effets à long terme de la réalité virtuelle.
Le cerveau utilise trois sources de données pour informer l’organisme sur sa position et ses mouvements : l’oreille interne, les muscles et les yeux.
Une fois le casque sur la tête, « les yeux indiquent que vous êtes dans un environnement, mais l’oreille interne et les muscles disent que ce n’est pas le cas : cette incohérence des informations sensorielles peut provoquer sur une exposition prolongée : des maux de tête, des nausées… » selon Pierre-François Kaeser, responsable de l’unité de strabologie et ophtalmologie pédiatrique à l’hôpital ophtalmique Jules-Gonin à Lausanne, cela s’appelle le « cyber malaise« .
Par ailleurs, certains patients pensent qu’il s’agit d’une solution miracle, et attendent tout de la première exposition. Ils parlent de « thérapie magique », mais une thérapie n’a rien de magique, c’est un processus qui prend du temps et du travail sur soi, avec l’aide d’un professionnel.
Une des limites pourrait également être les « bugs technologiques » qui sont parfois possibles. Enfin, le nombre de possibilités d’expositions thérapeutiques en réalité virtuelle (environnements) est encore limité et toutes les situations demandées ne sont pas disponibles, mais les environnements sont sans cesse en cours de création et de développement.
Relaxation en immersion
"Vous souhaitez vous évadez le temps d'une séance de relaxation où de méditation en réalité virtuelle. Je serai ravie de vous plonger et de vous faire profiter de ce moment en immersion chez vous".
La relaxation est une composante essentielle de l' approche thérapeutique. En utilisant la réalité virtuelle, je vous offre des expériences immersives pour vous aider à vous détendre et à retrouver un état de calme intérieur.
La relaxation immersive est une expérience visuelle et sonore allant de 10à 15 min ou 20 à 30 min et permet de proposer un programme adapté par objectif : gestion du stress, confiance en soi, équilibre intérieur, amélioration du sommeil, détox…il y en a pour toutes les envies.
(Plage, forêt, campagne, paysage sous la neige, en haut d'une montagne, vol dans l'espace, fond sous-marin, patio oriental, vol en montgolfière et bien d'autres…)
Gestion du stress
La gestion du stress est essentielle pour maintenir un équilibre mental et émotionnel. Avec nos techniques de réalité virtuelle, nous aidons nos clients à trouver des moyens efficaces pour gérer leur stress au quotidien.
Contre-indications
Contre-indications
La réalité virtuelle a toutefois ses limites. Parmi les patients traités environ 10 % seraient victimes de « cybermalaises ».
Certaines personnes ressentent de l’inconfort pendant ou après une immersion en réalité virtuelle. Ces malaises se manifestent généralement chez des personnes déjà sensibles au mal des transports". Le cybermalaise s’explique par un décalage entre les déplacements du corps perçus par le sens et l’équilibre et ceux perçus par la vision. Provoquant ainsi des maux de tête, maux de cœur et nausées qui s’estompe après l’arrêt de l’utilisation.
Enfin, ce traitement est évidemment contre-indiqué pour les épileptiques photosensibles.
À partir de quel âge ?
La thérapie de réalité virtuelle peut être utilisée dans toutes les tranches d'âge et peut être adaptée à l'âge de l'enfant au fur et à mesure de sa croissance. De plus, cette thérapie peut être adaptée pour contraster l'implication des situations.
Les enfants et le traitement de la réalité virtuelle
Les Enfants et le Traitement de la Réalité Virtuelle
Le traitement de l’exposition à la réalité virtuelle (TERV) implique des environnements virtuels personnalisés qui ont été prudemment développés pour soutenir la thérapie de l’exposition des états de nervosité. Grâce à la réalité virtuelle, l’enfant est soumis à des conditions effrayantes dans un environnement sécurisé et géré, au lieu de l’emmener dans l’environnement réel ou de le faire imaginer par le jeune. La situation virtuelle est supervisée par un thérapeute, ce qui garantit une régulation complète de la sujétion à l’état redouté. La TERV permet au thérapeute d’influencer les situations pour qu’elles conviennent à la personne pendant une période de thérapie typique et dans les limites du lieu de travail du thérapeute.
En Bref
La thérapie cognitivo-comportementale enrichie en réalité virtuelle pourrait être un outil auxiliaire utile pour traiter la phobie de l’école. La composante dominante de ce traitement est la thérapie d’exposition, qui consiste à aider les clients à devenir plus calmes face à l’état de choses qui les effraie. La technologie de la RV place le client dans des environnements créés par ordinateur dans lesquels il fait l’expérience d’une salle de classe et d’un cadre scolaire. Au début, les clients apprennent à faire face à la situation et sont ensuite mis dans la situation de RV. Les clients peuvent s’exercer dans ce monde virtuel jusqu’à ce qu’ils soient satisfaits de l’expérience et de leurs réponses.
Si une tactique de traitement compliquée est nécessaire, la thérapie de réalité virtuelle est directement mise en commun avec d’autres techniques d’enseignement pour offrir une stratégie d’implication globale.
Que se Passe-t-il Pendant la Thérapie de Réalité Virtuelle ?
Les recherches ont prouvé que la thérapie par réalité virtuelle « remodèle » essentiellement le cerveau de manière à amplifier les parties concernées par l’attention et l’amitié. Cela permet une meilleure compréhension et une meilleure prise de conscience des indices sociaux, une meilleure compréhension de la prise et des dialogues, et un contrôle supplémentaire chaque fois que l’on est confronté à des problèmes scolaires réels. Dans les recherches effectuées après que les enfants aient suivi une thérapie d’exposition à la RV, les scanners ont révélé que les sections du cerveau liées aux aptitudes sociales et les régions qui échangent des informations dans les interactions sociales sont améliorées.
Cette approche visuellement rafraîchissante et réactive de la lutte contre la phobie de l’école offre un podium dynamique qui peut fabriquer un nombre illimité de circonstances de peur. La poursuite des incertitudes précises d’un enfant offre des circonstances évocatrices proches de la vie avec une réaction instantanée, ce qui enrichit grandement l’aptitude de l’enfant à gérer la tension.
Déroulement des séances
En alliance avec l'approche centrée sur la personne associée à la (TERV) thérapie par exposition en réalité virtuelle, dont je l'utilise pour le traitement des phobies mais aussi entant que voyage en immersion pour de la relaxation, afin d'obtenir plus d'efficacité thérapeutique.
Je suis en lien avec des médecins, psychiatres et kinésithérapeutes de la région.
Si vous le souhaitez, chaque consultation est suivie d'une séance de relaxation en immersion qui vous apportera une déconnexion totale, une évasion immédiate dans l'endroit que vous aurez choisi.
J'adapte les nombreuses techniques à ma disposition pour répondre au mieux à vos problématiques.
Je me deplace à votre domicile uniquement sur rendez-vous sur la ville de Granville et ses environs (Donville-les-bains, Saint Planchers, Saint-Pair-Sur-Mer, Bréhal, et autres environs).
Pourquoi consulter?
Personne n'est à l'abri de petits ou gros soucis qui viennent momentanément nous gâcher la vie. Dans ce cas, demander l'aide d'un professionnel peut vivement nous aider.
Parfois, il est difficile de trouver soi-même la solution à ses problèmes. Que l'on soit anéanti par la mort d'un proche, découragé par des problèmes d'ordre scolaire ou professionnel, en proie à des angoisses et des cauchemars répétitifs et inexpliqués, prisonnier d'une timidité paralysante, ou encore embarrassé par une agressivité impossible à maîtriser. Je suis là pour vous aidez à comprendre ce que vous ressentez avec bienveillance, en toute confidentialité, et surtout sans vous juger.
Au fil des séances, je vous aide à retrouver confiance en vous, ainsi que l'énergie et les outils nécessaires pour faire face aux difficultés.
Le praticien est formé pour écouter, comprendre et conseiller. On peut tout lui raconter, ce que l'on n'ose dire à personne, ce qui nous fait mal en secret depuis des semaines, des mois ou même des années, pour enfin s'en débarrasser.
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Où que vous soyez, je vous accompagne vers un mieux-être.
"Il n'est pas nécessaire d'aller mal pour aller mieux"
Ensemble, nous clarifions où vous en êtes aujourd'hui, ce vers quoi vous souhaitez vous diriger et ce qui vous en empêche pour être mieux avec vous-même et dans votre vie.
Vous apprenez à mieux vous connaître, à être vraiment vous-même dans la relation à l'autre.
Chaque séance est un temps propice à l'introspection, un temps privilégié avec vous-même et dans lequel je vous accompagne pour vous aider à trouver vos propres solutions.
Étant convaincue que le corps et l'esprit sont indissociables à ma pratique, pour moi, il s'agit de prendre en compte l'être humain dans son intégralité, le corps, les émotions, la pensée, la spiritualité, le passé, le présent et l'avenir.
La thérapie à domicile
La thérapie à domicile est une alternative à la thérapie en présentielle au cabinet, qui rend le service plus accessible.
Le contact est gardé, avec tout le confort du foyer: le patient se sent à l'aise et en confiance dans ce lieu bien connu.
Les séances peuvent se passer dans un endroit que vous souhaitez, marcher dans un parc, à la mer, ....ou autre lieux pour la thérapie individuelle sans TVR.
La thérapie psycho-émotionnelle ou psychosomatique
Quand les douleurs du corps nous parles.
La psychosomatique ou les troubles psychosomatiques concernent à la fois le corps et l'esprit. C'est lorsqu'un élément d'ordre psychologique est impliqué dans l'apparition de symptômes physiques. En d'autres termes, le corps exprime une émotion ou un trouble psychologique.
Psychosomatique = du grec ancien : psyché, l’esprit et soma, le corps) dont la paternité revient à un psychiatre allemand Heinroth (1773-1843). Le terme psychosomatique désigne des troubles occasionnés ou aggravés par des facteurs psychiques, la somatisation. Il concerne l’ensemble des effets de l’esprit sur le corps humain. Le corps et la psyché sont intimement liés :
"L’un ne peut vivre sans l’autre et ils sont en constante interaction"
LES SYMPTÔMES
Les symptômes physiques affectant un organe ou un système physiologique et dont les causes sont en général émotionnelles peuvent caractériser les maladies psychosomatiques. Un état d’angoisse ou de détresse morale peut se faire écho de la maladie. Le stress est le principal facteur psychique qui déclenche ou favorise une maladie psychosomatique. Cela se produit durant trois phases : celle dite d’alerte, de lutte puis d’épuisement. C’est au cours de cette dernière que le cortisol sécrété par les glandes surrénales puise les réserves d’énergie du corps. Les infections peuvent alors facilement toucher l’organisme.
Le stress permanent peut engendrer un dysfonctionnement des organes, la déprime, les idées noires… Des pensées négatives, des conflits psychiques souvent inconscients (peur, fureur, colère) se manifestant par des symptômes physiques seraient capables de trouver leur origine ou d’aggraver des maux tels que : insomnie, migraine, maladies de peau, trouble cardiovasculaire, prise de poids, mal de dos… Les patients souffrant de troubles psychosomatiques ont souvent vécu des évènements douloureux (alcoolisme, divorce, disparition d’un proche, abus sexuel…).
La douleur psychosomatique est bien réelle, c'est une véritable douleur qui est ressentie même s'il n'existe pas de causes physiques. Elle nécessite comme toute autre douleur une prise en charge spécifique. Les personnes qui sont submergées psychologiquement expriment leurs émotions à travers le corps
La thérapie psycho-émotionnelle, va vous aider à mieux gérer vos émotions au quotidien mais également à vous libérer des émotions liées aux traumatismes et aux abus, vous permettant d'améliorer considérablement votre bien-être. En effet, les émotions associées à certains traumatismes peuvent ressurgir à tout moment et vous affecter moralement ou physiquement au point de vous empêcher de fonctionner normalement dans votre quotidien, mais elles peuvent aussi favoriser l'apparition de certaines douleurs physiques (migraine, mal de dos, douleurs aux genoux....)
La thérapie analytique
Est une thérapie là où la parole est à l'honneur, cela permet de réfléchir, de déployer ses pensées et de se remettre en question dans un échange direct avec le praticien. C'est un temps, un espace, qui n'appartient qu'à soi et qui permet de se libérer de sa souffrance.
Une thérapie analytique est tout à fait indiquée dans la prise en charge au long cours de la dépression. Elle peut aussi vous aider à comprendre pourquoi vous n'arrivez pas à maigrir, ou les raisons de votre incapacité à lâcher prise, à nouer une relation amoureuse durable, surmonter un deuil, pour soigner ses blessures d'enfance, insomnie, etc....
La thérapie familiale
La souffrance d'un enfant est parfois symptomatique de dysfonctionnements dans la famille. La thérapie familiale permet de venir en aide au jeune et à son entourage au regard de l'enfant ou l'adolescent dans ses interactions avec les différents membres de la famille.
Elle cherche ainsi à comprendre ce que la souffrance peut vouloir dire, comme des comportements inexpliqués chez le jeune enfant ou l'adolescent :
- Prises de risque,
- Échec scolaire soudain,
- Les fugues,
- Certaines crises pénibles de l'adolescence qui se traduisent parfois par une rupture de toute communication,
- La dépression,
- etc.....
La mise à jour des malaises familiaux a pour objectif de soulager l'enfant souffrant, mais aussi chacun des membres de sa famille, afin de mieux respirer et vivre en hamonie
Les troubles anxieux
Il est naturel de ressentir un certain niveau d'anxiété dans certaines occasions (ex: mariage, divorce, la veille d'un examen, lorsque vous passer une entrevue d'emploi, etc.…). L'anxiété est alors liée à des évènements particuliers et disparaît généralement dès que la vie reprend son cours normal. L'anxiété devient un problème quand: elle ne disparaît pas quand la situation préoccupante revient à la normale ; elle occasionne un niveau de détresse important ; elle n'est liée à aucun événement de vie, c'est-à-dire qu'elle apparaît sans raison ; elle préoccupe continuellement la personne ; elle empêche la personne de fonctionner et d'agir normalement au travail, en société ou dans d'autres domaines de la vie quotidienne. L'anxiété peut alors être un signe de la présence de l'un ou l'autre des troubles anxieux.
Les principales formes de troubles anxieux sont la phobie, l'anxiété sociale, l'anxiété généralisée, le trouble panique et l'agoraphobie.
La personne présentant un trouble anxieux peut ressentir divers malaises physiques et psychologiques plus ou moins intenses qui accompagnent son sentiment d'anxiété comme la fatigue, l'irritabilité, des difficultés à se concentrer, des troubles du sommeil, des troubles du sommeil, des douleurs musculaires, de l'agitation ou surexcitation, des maux de tête, diarrhée ou inconfort abdominal, des vertiges ou impression d'évanouissement, des nausées, des palpitations ou accélération du rythme cardiaque, des sensations d'étouffement ou d'étranglement …........
Les TCC ou thérapies comportementales et cognitives
Les techniques de psychothérapies sont fondées sur la parole associée ou complétée par des médiations instrumentales ou corporelles. Les psychothérapies se déroulent dans un cadre précis défini par le thérapeute : lieu, modalités techniques, durée et fréquence des séances.
Les thérapies comportementales et cognitives (TCC) sont des thérapies brèves, validées scientifiquement, qui portent sur les interactions entre pensées, émotions et comportements. Elles aident la personne à mieux comprendre les schémas de pensées négatives à l’origine de leurs comportements inadaptés qui peuvent être source de détresse psychique.
Les TCC pour qui et pour quoi?
Les psychothérapies TCC s’adressent à des personnes de tous les âges, mais aussi aux couples et aux groupes familiaux.
Elles peuvent aider toute personne ayant une souffrance psychique exprimée par des symptômes tels que : angoisse, tristesse, trouble panique, phobies, obsessions, dépression, idées suicidaires, perte de confiance en soi, isolement, inhibition, difficultés relationnelles, troubles alimentaires, troubles sexuels ou troubles du sommeil.
Une TCC est un traitement qui se fait par des entretiens réguliers, individuels ou en groupe, avec un psychothérapeute. Une TCC se veut interactive, pédagogique et explicite, collaborative et égalitaire.
Après avoir caractérisé la souffrance de la personne, le thérapeute et le patient déterminent ensemble des objectifs concrets et réalistes ainsi que les techniques qui permettent de les atteindre.
Il y a plusieurs techniques, choisies en fonction du type de souffrance et du souhait de la personne. Spécifiques à chaque trouble, des exercices sont proposés et évalués cliniquement :
-
Exercices comportementaux : ils visent un apprentissage de nouveaux comportements tels que l’affirmation de soi par exemple ;
-
Exercices cognitifs : ils ciblent les pensées inadaptées et irréalistes en apprenant à les modifier, à construire et à stabiliser de nouvelles façons de penser plus adaptées ;
-
Exercices émotionnels : ils développent l’acceptation et la conscience des différentes émotions pour apprendre à mieux les réguler ;
-
Exercices corporels : ils permettent d’apprendre à se détendre physiquement et psychologiquement.
La durée du traitement varie de quelques semaines à quelques mois. Les TCC peuvent être pratiquées seules ou associées à d’autres thérapeutiques (ex : prescription de médicaments par votre médecin).
Une séance dure environ 1 heure.
L'accompagnement pour personnes âgées avec la TERV (remédiations cognitives, alzheimer,....)
La réalité virtuelle stimule les personnes âgées en leur offrant des environnements immersifs qui engagent l'attention et favorisent l'exploration.
La solution inclut des exercices cognitifs et des environnements dynamisant les interactions sociales pour renforcer la mémoire, l'attention, et réduire l'isolement.
Stimulation cognitive chez les seniors
Stimulez les seniors sur plusieurs axes thérapeutiques :
- Stimulation de la parole
- Stimulation de la mémoire via le module Google Street View
- Lutte contre l’apathie
- Stimulation des réflexes
La réalité virtuelle stimule les personnes âgées en leur offrant des environnements immersifs qui engagent l’attention et favorisent l’exploration. La solution inclut des exercices cognitifs et des environnements dynamisant les interactions sociales pour renforcer la mémoire, l’attention, et réduire l’isolement. De plus, cela permet de personnaliser les expériences et de créer des environnements sûrs pour des activités adaptées aux capacités des individus.
Les avantages de la réalité virtuelle.
Le voyage immersif vécu offre de nouveaux sujets de discussion, avec les aidants et les soignants ou encore lors de la visite des proches. Le voyage immersif permet une expérience nouvelle et une « sortie » fictive du quotidien restrictif.
L’intégration de programmes de méditation guidée apporte un outil supplémentaire pour arriver à un état de relaxation.
Le voyage immersif permet aux utilisateurs de remobiliser certaines capacités cognitives.
Ils peuvent ainsi expérimenter à nouveau des stimulations sensorielles dont ils étaient privés.
Cela leur permet aussi de d’activer leur mémoire, et d’évoquer des souvenirs avec un discours plus structuré et plus cohérent.
Les jeux cognitifs en réalité virtuelle intègrent la reconnaissance vocale et la distinction des couleurs stimulent simultanément plusieurs aires cérébrales, favorisant ainsi une amélioration significative de la mémoire, de l’attention et des compétences de traitement de l’information.
L’utilisation de la reconnaissance vocale et de la distinction des couleurs dans les jeux en VR offre une expérience multisensorielle enrichie, aidant les patients à renforcer leurs compétences en perception auditive et visuelle tout en augmentant leur capacité à intégrer et à traiter les informations provenant de différentes sources sensorielles.
Cette approche ludique augmente la motivation des personnes, rendant la thérapie plus efficace et agréable en permettant un Engagement et Motivation Accrus.
Thérapie de soutien et d'accompagnement
La thérapie de soutien a des objectifs thérapeutiques qui ne renvoient forcément pas à une catégorie clairement définie. Une telle psychothérapie se distingue d’autres thérapies visant à modifier la personnalité. L’objectif de la psychothérapie de soutien est d’aider la personne à supporter ses symptômes ou ses problèmes généraux, d’apporter un soutien moral. Elle est également le point de départ de toutes les autres psychothérapies. Elle se distingue des autres méthodes thérapeutiques car elle n’emploit pas de technique spécifique. Elle peut en revanche prendre pour base les facteurs communs, comme par exemple la création d’une relation d’alliance thérapeutique, des moments d’expression des émotions douloureuses jusqu’alors évitées, le développement de nouvelles habilités, l’accroissement de l’espoir… Ce travail peut impliquer ensuite l’application d’une technique thérapeutique plus précise et surtout ne dépendant pas des compétences du clinicien mais des caractéristiques du patient. Car ne s’agit il pas, pour une question d’efficacité, d’adapter le patient à une technique mais plutôt, d’adapter la technique au problème du patient.
La thérapie brève est une approche orientée vers les solutions : « le client construit sa propre solution en se basant sur ses propres ressources et ses propres succès » (Steve de Shazer). L’approche orientée vers les solutions se penche principalement sur la question : comment faire pour aller mieux ?
L’idée fondamentale en thérapie brève est alors de penser que le changement ne repose pas sur la connaissance du « pourquoi le problème existe ou subsiste », mais sur celle du « comment il se maintient ». L’étape de compréhension de l’origine du problème est en quelque sorte contournée, la thérapie s’orientant sur la recherche de solutions pour faire disparaitre le problème le plus rapidement possible. Faire différemment : le changement est au cœur de la thérapie brève orientée vers les solutions. « Ce n’est pas, en premier lieu, pour éclairer un passé inchangeable qu’on a recours à la psychothérapie, mais parce qu’on n’est pas satisfait du présent et qu’on désire rendre meilleur son avenir » (Milton Erickson ).
La thérapie brève favorise l’atténuation ou la disparition du symptôme et l’apparition d’une meilleure adaptation. Elle clarifie éventuellement les conflits internes. Le thérapeute intervient pour élaborer des solutions ensemble. Si le client le souhaite une thérapie brève peut se poursuivre par une autre approche thérapeutique comme la TCC ou la thérapie d’inspiration psychanalytique.
Votre thérapeute vous propose une thérapie sous la forme d’un échange dans « l’ici et maintenant » où l’humain est au cœur de ma démarche. La thérapie aide à :
La thérapie aide à :
- Prendre un temps pour soi
- Se sentir soulagé
- Prendre confiance en soi
- Mieux se comprendre et comprendre les autres
- Améliorer sa situation et/ou à prévenir les rechutes
- Elaborer des repères
- Nourrir son questionnement personnel
- Trouver une capacité à agir et à profiter de l’existenc
Comment savoir s’il faut consulter ?
Un indicateur possible qui permet de savoir s’il faut consulter pour soi-même ou pour un enfant est si vous ressentez un sentiment de mal-être, d’impasse, un vécu douloureux, un besoin de parler afin de partager ce qui vous affecte pour vous soulager et avancer. Il arrive que le trouble ou la souffrance dont on se sent atteint, isole dans ses pensées. Dans cette situation imaginer que l’on est seul face à des problèmes qui paraissent insurmontables est une indication pour consulter et échanger.
Victimes de pervers narcissiques (PN)
Les conséquences psychologiques sur les victimes de manipulateurs et de Pervers Narcissiques sont très graves. Pendant la période « lune de miel », tout va très bien. Les victimes sont mises en valeur, elles se sentent aimées, appréciées, elles ont trouvé le partenaire, l’ami ou l’associé parfait. Puis vient le jour où tout bascule, le manipulateur fait une crise et on ne l’avait jamais vu comme ça auparavant. Cela semble ponctuel, il se calme, demande pardon et tout repart. Pourtant, par la suite, il refait des crises (colère, culpabilisation, agressivité, violence, jalousie…), mais demande pardon à chaque fois. Il peut être violent et même frapper physiquement, ce qu’il n’avait jamais fait jusque-là. Puis les crises se font de plus en plus fréquentes et la vie avec le manipulateur devient un cauchemar.
Travailler son estime de soi
L’estime de soi est indissociable de la conscience de soi. Nous sommes dotés de la capacité de réfléchir sur nous, de nous observer en train d’agir. Cette « conscience de soi réflexive » est une chance extraordinaire offerte à notre espèce: elle permet d’avoir du recul sur soi, de s’observer, de s’analyser, donc de changer, de s’adapter, de s’améliorer. Mais elle peut aussi servir à se détester, se mépriser, se critiquer… à se rendre la vie impossible et inconfortable. Et parfois stérile, car ces agressions vis-à-vis de soi peuvent paralyser toute forme d’action.
Les symptômes de souffrance de l’estime de soi
Un jour on s’aime, l’autre non. Il est normal d’avoir des hauts et des bas dans notre rapport à nous-mêmes. Ces oscillations sont légitimes et utiles. Elles nous informent de la réussite ou non de nos efforts, de notre niveau d’acceptation ou de rejet social. Cependant, nos réussites sont aussi subjectives : nous pouvons saboter des succès ou maquiller des déroutes, nous donner l’illusion de contrôler notre environnement… donc actions, relations et suppositions.
Toutes les manifestations de souffrance de l’estime de soi sont normales tant qu’elles restent occasionnelles. Le problème ne se pose que si elles deviennent fréquentes, voire constantes, intenses, disproportionnées par rapport à ce qui les a déclenchées. Elles témoignent alors d’un échec de mécanismes de régulation de l’estime de soi.
- Obsession de soi
- Tension intérieure
- Sentiment de solitude
- Sentiment d’imposture
- Comportements inadéquats par rapport à nos intérêts
- Tendance à l’auto-aggravation lorsqu’on va mal
- Procéder à des choix de vie contraires à nos envies
- Difficulté à demander de l’aide
- Dépendance excessive envers les normes
- Faire semblant
- Tentation du négativisme
- Problèmes avec la remise en question
- Caractère excessif des émotions négatives
Les 6 dimensions d’une bonne estime de soi
- Hauteur
- Stabilité
- Harmonie
- Autonomie
- Coût
- Importance de l’estime de soi dans sa vie
L’affirmation de soi
L’affirmation de soi est une forme de thérapie cognitivo-comportementale (TCC) qui vise à promouvoir l’égalité dans les interactions humaines en se basant sur la notion de respect des autres et de soi-même. L’affirmation de soi s’oppose aux autres modes de communication tels que l’inhibition et l’anxiété sociale, l’agressivité, et la manipulation. Elle peut être appliquée à tous les domaines où des difficultés relationnelles peuvent se rencontrer.
Objectifs
Le but de l’affirmation de soi est d’enseigner aux personnes des stratégies appropriées pour identifier et agir sur leurs désirs, leurs besoins et leurs opinions tout en restant respectueux des autres. Le groupe sera adapté aux besoins spécifiques des participants et aux situations qu’ils trouvent difficiles dans leur quotidien : timidité et phobie sociale, relations conjugales, conflits d’ordre professionnel, maintenir un changement de comportement, etc.
Des objectifs progressifs
Par la mise en place d’objectifs spécifiques et progressifs, les participants pourront acquérir les compétences relationnelles afin de faire face aux nombreuses situations difficiles de la vie courante. Exemples de situations travaillées au cours du programme :
1) Prendre la parole, l’art de la discussion
2) Exprimer son désaccord : savoir dire non ou négocier
3) Vous êtes content : savoir faire un compliment
4) Vous êtes mécontent : savoir faire une critique
5) On vous félicite : savoir répondre aux compliments
6) On vous attaque : savoir répondre aux critiques
7) Résolution de problèmes, outils pratiques
Le travail d’affirmation de soi permet de se débarrasser de ses modes de communication dysfonctionnels en exprimant de façon adaptée ce que l’on veut, ce que l’on pense, et ce que l’on ressent… sans anxiété excessive, et tout en respectant l’autre.
Accompagnement des personnes âgées
Vieillir n’est pas une maladie, et chacun fait face au vieillissement en tant que personne unique qui a son histoire, ses fragilités, ses ressources pour y faire face. Il existe autant de façon de vieillir que d’individus.
Qu’est-ce que le vieillissement ?
Le vieillissement se caractérise par un ensemble de modifications biologiques (rides, modification des sens, …), sociales (changement de statut à la retraite), et psychologiques. Les altérations corporelles et sensorielles, les modifications du fonctionnement cognitif et psychique sont autant de changements qui peuvent mettre à mal l’équilibre de la personne âgée. Les pertes et les deuils émaillent la vie de la personne qui avance en âge, un accompagnement psychologique peut être bénéfique.
Les troubles psychologiques de la personne âgée
Les études montrent que la vulnérabilité aux maladies psychiques augmente avec l’âge. Parmi les troubles et leur spécificité on peut notamment trouver :
Les troubles dépressifs : On estime que 60 à 70% des symptômes dépressifs des plus de 65 ans seraient sous traités voire non traités. Ce manque de prise en charge est une cause importante de perte d’autonomie et de dépendance, et de risque de suicide. La dépression est une maladie qui se manifeste par une humeur triste et/ou une perte d’intérêt ou de plaisir pour les activités habituelles. À cela peut s’ajouter une diminution ou augmentation de l’appétit avec perte ou prise de poids, des troubles du sommeil, de la fatigue, un sentiment de dévalorisation ou de culpabilité, une baisse des facultés de mémoire et de concentration, et des pensées de mort. Avec l’âge, la dépression peut se manifester par des plaintes et des douleurs somatiques, un changement de comportement, avec un sentiment de vécu hostile et de l’agressivité. Les psychothérapies et les antidépresseurs prescrits par un médecin permettent de soigner efficacement les dépressions. L’utilisation des antidépresseurs doit être prudente, avec de faibles doses, et une surveillance attentive des effets indésirables et des interactions avec d’autres médicaments, fréquents chez les personnes âgées.
Le risque suicidaire : Le risque de suicide augmente statistiquement avec l’âge. En France, un tiers des personnes qui se suicident ont plus de 65 ans et 80 à 90% des tentatives de suicide sont liées à un épisode dépressif. Vouloir se suicider, c’est souvent vouloir arrêter de souffrir psychiquement ou physiquement, plutôt que vouloir mourir. La crise suicidaire se définit comme l’émergence de l’idée que le suicide est l’unique réponse à une situation douloureuse. Il est important d’oser parler de ses idées de suicide. En effet, l’état dépressif modifie sa vision du monde. Oser parler de ses idées, c’est se donner la possibilité de se faire aider et de trouver des solutions (soutien psychologique, lutte contre l’isolement, aide à l’autonomie, lutte contre une douleur physique…).
Les troubles anxieux : Vieillir peut constituer une source d’anxiété chez certaines personnes par exemple chez des personnes très attentives au corps et au fonctionnement des organes. Le vieillissement peut alors « légitimer » des inquiétudes anciennes. Ces « somatisations » liées -ou non -avec la réalité du vieillissement sont grandes consommatrices de soins et d’explorations médicales, souvent coûteuses, parfois inutiles. Elles accentuent le risque de perte d’autonomie et d’abus de substances (antalgiques, tranquillisants, alcool) et entraînent la personne dans le cercle vicieux de la dépendance et de la iatrogénie. Les réponses non pharmacologiques doivent être privilégiées : conseils hygiéno-diététiques (éviter les stimulants, privilégier les horaires réguliers de coucher, maintenir ou initier une activité physique…) méthodes de relaxation, , yoga… Parfois l’anxiété émerge en réaction à un traumatisme (incident grave de santé, agression, conflit familial…) et/ou s’exprime psychiquement par d’incessantes préoccupations sur l’avenir, un pessimisme envahissant et des demandes de réassurance. Dans ce cas, un accompagnement psychologique régulier apportera un apaisement.
Une personne âgée peut s’isoler et éviter de sortir de chez elle de peur de tomber. C’est une crainte courante qui peut devenir une véritable phobie. On parle de ptophobie (peur de tomber), et de basophobie (la peur de marcher). Une thérapie comportementale et cognitive est indiquée pour ce type de trouble.
Vieillissement cognitif : normal ou pathologique ?
Le vieillissement cérébral entraîne des modifications du fonctionnement cognitif, avec notamment davantage de difficultés à retenir les nouvelles informations, à se rappeler des noms propres, à se concentrer, … Ces difficultés peuvent être source de gêne et d’inquiétude chez la personne, mais ne sont pas pathologiques en soi. Les problèmes de mémoire peuvent être liés à des troubles dépressifs ou anxieux, à des troubles du sommeil, à des effets de certains médicaments,… Il est important d’en parler à son médecin qui pourra s’il le juge nécessaire orienter la personne vers une consultation mémoire spécialisée.
Dans certains cas les troubles de mémoire sont dits pathologiques, c’est-à-dire causés par une maladie. Parmi les plus fréquentes il y a la maladie d’Alzheimer, qui est une maladie neurodégénérative.
Un trouble neurodégénératif est une perte progressive et irréversible des capacités cognitives tels que la mémoire, le langage, les capacités de jugement et de planification, entraînant une perte d’autonomie de la personne. Cette maladie entraîne également des troubles de l’humeur (dépression, anxiété,…), des troubles des comportements (comportements moteurs aberrants, agressivité verbale ou physique, désinhibition,…) qui peuvent conduire à l’épuisement de l’entourage.
La maladie peut être découverte assez tardivement, car la personne malade peut arriver durant plusieurs années à compenser/masquer ses troubles et à faire illusion auprès de l’entourage.
S’il n’existe pas encore à ce jour de traitement pour guérir la maladie d’Alzheimer, mais il existe des thérapeutiques non médicamenteuses existent pour accompagner les malades (stimulation cognitive, thérapie assistée par l’animal, ergothérapie, …).
L’accompagnement psychologique est important autant pour l’entourage que pour la personne malade. Les objectifs de consultation d’un psychologue spécialisé dans les pathologies du vieillissement peuvent être :
Pour la personne malade
- Dépister la maladie et suivre son évolution avec un bilan et suivi neuropsychologique
- Mettre en place des stratégies pour compenser les troubles cognitifs (agenda, exercices pour maintenir les capacités de langage,…)
- Accompagner et soutenir psychologiquement le malade
Pour l’entourage
- S’informer par la psycho-éducation sur la maladie : pour accompagner son proche le mieux possible l’aidant a besoin de devenir un « expert » de la maladie. Il apprend à analyser les situations et à trouver les solutions adéquates
- Soutien psychologique : l’entourage perd peu à peu le proche tel qu’il le connaissait, il doit opérer un travail de deuil qui nécessite parfois le soutien d’un professionnel.
Le bien être au travail
Les bénéfices des voyages immersifs, celui-ci peut jouer un rôle important dans la qualité de vie au travail.
Les voyages immersifs permettant de se couper de l’environnement de travail le temps d’une pause. Il est aussi possible de vivre des séances de méditations guidées afin de réduire le stress et d’évacuer les tensions.
Cet usage permet alors d’augmenter le bien-être des équipes avec un bénéfice perçu également par les résidents dans la qualité de leur prise en charge.
Le Burn-out - syndrome d'épuisement professionnel
BURN-OUT : QU'EST-CE QUE C'EST ?
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) caractérise le burn-out comme un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ; l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) décrit le syndrome d’épuisement professionnel comme un ensemble de réactions consécutives à des situations de stress professionnel chronique.
Décrit dès les années 1970 dans un contexte d’évolution du monde du travail et de changements sociaux, le terme de burn-out décrivait un état de « fatigue extrême, ainsi qu’une perte de passion et d’idéalisme pour son travail », en particulier chez les professionnels « au service des personnes », ou encore « un état d’épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel».
LES SYMPTÔMES
- Un manque d’énergie ou d’épuisement
- Un retrait vis-à-vis du travail ou des sentiments négatifs ou cyniques liés au travail
- Une perte d’efficacité professionnelle.
Le syndrome d’épuisement professionnel ou burn-out : un processus progressif qui commence lorsque les contraintes, en particulier professionnelles, sont excessives et prolongées, et entrainent un stress chronique.
Le sujet ainsi exposé peut connaître une situation de déséquilibre important entre les ressources qu’il mobilise pour accomplir son travail (moyens mis en œuvre, représentation des valeurs de son métier, possibilité de trouver du soutien, de la reconnaissance), et les exigences auxquelles il doit faire face. Cela peut retentir sur sa santé et compromettre son engagement professionnel.
Le concept de syndrome d’épuisement professionnel ou burn-out, même s’il ne constitue pas un diagnostic clinique à part entière dans les classifications médicales de référence comme le DSM-V (ses symptômes et ses causes n’étant pas suffisamment établis), est défini comme un ensemble de signes cliniques, et fait l’objet d’une attention particulière (OMS, Syndrome d’épuisement, 1998).
LES TRAVAUX SCIENTIFIQUES ONT PERMIS DE CONCEVOIR LE BURN-OUT COMME UN PROCESSUS DE DÉGRADATION DU RAPPORT SUBJECTIF DE LA PERSONNE À SON TRAVAIL, À TRAVERS TROIS DIMENSIONS
- L’épuisement émotionnel : fatigue intense, manque d’énergie malgré les temps de repos, sentiment d’être « vidé de ses ressources ».
- Le cynisme vis à vis du travail (ou dépersonnalisation) : développement d’attitudes impersonnelles, détachées, négatives, cyniques envers son travail et envers les personnes (collègues, hiérarchie, personnes dont on s’occupe.
- La diminution du sentiment d’accomplissement personnel au travail : dévalorisation de soi, de son travail et de ses compétences, sentiment d’être inefficace ou « pas à la hauteur » dans son travail.
Certains facteurs de risque professionnels et certains déterminants individuels seraient plus associés au burn-out. Parmi les facteurs de risque professionnels, les études identifient principalement une charge quantitative et qualitative élevée et prolongée de travail, la présence de conflits de valeur, un manque de ressources (soutien social de la hiérarchie et des collègues), d’autonomie, de reconnaissance, d’équité ou de sécurité. Parmi les déterminants individuels, on retrouve principalement l’engagement fort dans le travail, le caractère consciencieux (organisé, persévérant, méticuleux), ainsi que la tendance à percevoir les événements comme pénibles ou problématiques.
LE SYNDROME D’ÉPUISEMENT PROFESSIONNEL EST SOUVENT DIAGNOSTIQUÉ À UN STADE TARDIF, S’EXPRIMANT SPÉCIFIQUEMENT DANS LE CONTEXTE DU TRAVAIL (GUIDE D’AIDE À LA PRÉVENTION, DGT-INRS-ANACT, MAI 2015)
- Manifestations physiques, qui sont les plus fréquentes :troubles du sommeil, fatigue persistante malgré le repos, tensions musculaires, douleurs rachidiennes (dos, nuque), modifications du poids, maux de tête, nausées, vertiges parfois.
- Manifestations émotionnelles : anxiété, manque d’entrain pouvant aller jusqu’à une humeur triste avec dévalorisation, irritabilité, hypersensibilité ou diminution de l’expression des émotions.
- Manifestations cognitives : distractibilité, erreurs d’inattention ou oublis, diminution de la capacité à se concentrer, à hiérarchiser, à nuancer, à prendre des décisions, à faire plusieurs tâches à la fois.
- Manifestations motivationnelles : désengagement, manque de motivation
- Manifestations comportementales : isolement, agressivité, ressentiment, cynisme, développement de comportements addictifs (tabac, alcool, sédatifs, drogues)
La dépression et le burn-out paraissent, d’après les études, des entités séparées mêmes si elles partagent des caractéristiques communes, tant par les symptômes présentés que par leurs conséquences fonctionnelles ; elles peuvent coexister, et évoluer l’une vers l’autre. Les troubles anxieux et burn-out partageraient aussi une symptomatologie commune.
La dépression
Dépression : quels sont les symptômes d’alerte ?
On parle de dépression quand une personne éprouve sur plusieurs semaines de la tristesse, une perte de plaisir, des troubles du sommeil. Et, lorsque tout demande un effort considérable avec souvent des idées suicidaires et une dévalorisation de soi.
C’est dans ce but de créé une immersion virtuelle pour aider les patients à avoir plus de compassion envers eux-mêmes.
Quand la réalité virtuelle rentre en jeu…
Les patients portent un casque de réalité et sont amenés à exprimer bienveillance et réconfort envers un enfant virtuel en détresse. Ils se mettent à parler à l’enfant qui s’arrête alors progressivement de pleurer. Après quelques minutes, les patients se retrouvent incarnés par l’enfant virtuel. Et, c’est un adulte qui leur répète alors leurs propres mots et exécute leurs gestes de compassion.
Comment la réalité virtuelle va-t-elle agir sur la dépression
Dépression et thérapie virtuelle font “bon ménage” . En effet, les personnes qui souffrent d’anxiété et de dépression peuvent être excessivement autocritiques. En effet, quand les choses vont mal dans leur vie », explique Chris Brewin, professeur de psychologie à l’UCL.
Elle aide donc les patients souffrant de dépression à être moins critiques. Et, par conséquent avoir plus de bienveillance envers eux-mêmes. Ce qui réduit les symptômes dépressifs. Dans cette expérience, en réconfortant l’enfant. Puis, par la suite en écoutant leurs propres paroles en retour. Voilà que, les patients s’accordent inconsciemment cette compassion dont ils ont besoin.
Pour en savoir plus sur la dépression et sa guérison
De plus, la psychothérapie permet à la personne souffrant de dépression de mieux gérer la maladie. De la comprendre, de réduire ses symptômes, de donner du sens à ce qu’elle vit, de pouvoir envisager de nouveaux projets.
Ses premiers effets ? Un soulagement lié à une écoute adaptée (parfois immédiatement ), et des changements durables (au bout de quelques semaines).
Après la guérison d’une dépression, la psychothérapie sert aussi à prévenir les rechutes.
Adaptation des séances à chaque personnes
Où que vous soyez, je vous accompagne vers un mieux-être.
"Il n'est pas nécessaire d'aller mal pour aller mieux"
Ensemble, nous clarifions où vous en êtes aujourd'hui, ce vers quoi vous souhaitez vous diriger et ce qui vous en empêche pour être mieux avec vous-même et dans votre vie.
Vous apprenez à mieux vous connaître, à être vraiment vous-même dans la relation à l'autre.
Chaque séance est un temps propice à l'introspection, un temps privilégié avec vous-même et dans lequel je vous accompagne pour vous aider à trouver vos propres solutions.
Étant convaincue que le corps et l'esprit sont indissociables à ma pratique, pour moi, il s'agit de prendre en compte l'être humain dans son intégralité, le corps, les émotions, la pensée, la spiritualité, le passé, le présent et l'avenir.
Vous vous sentez concerné(e), prêt(e) à prendre soin de vous et commencer une nouvelle vie, votre nouvelle vie, contacter moi au
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En savoir plus sur mes méthodes de travail
N'hésitez pas à me contacter pour planifier une séance ou obtenir plus d'informations sur mes services. Je suis là pour vous aider à vaincre vos phobies, gérer votre stress et retrouver la sérénité grâce à la réalité virtuelle.